Nous avons sĂ©journĂ© dans une "cabin" peu spacieuse, sans fenĂȘtre, et surtout l'accĂšs au couchage de la mezzanine (dont les rampants sont Ă raz de la tĂȘte et du pied du matelas) Ă©tait plus que pĂ©rilleux : Ă©chelle trĂšs raide, barreaux trĂšs espacĂ©s, et arrivĂ© en haut il faut se faufiler / ramper sous la pente pour rejoindre le fond du matelas pour celui qui dort au fond ; pour celui qui dort devant, il n'y a aucune barriĂšre de protection pour empĂȘcher une Ă©ventuelle chute. Impossible pour moi d'y laisser dormir mes enfants, et j'y ai moi-mĂȘme trĂšs mal dormi, stressĂ©e Ă l'idĂ©e qu'il faudrait en pleine nuit enjamber mon mari et me contortionner pour descendre l'Ă©chelle afin d'aller aux toilettes (extĂ©rieures Ă la cabin, mais ça on le savait). Le "bloc sanitaire" commun est plus que rudimentaire, notamment les douches (eau chaude brĂ»lante ou tiĂšde sans juste milieu, "robinets" qui se dĂ©tachent, sol en gravier qui limite les possibilitĂ©s d'entretien et prĂ©sence de grenouilles). Il y a aussi un espace cuisine (frigo, micro-ondes communs) pratique mais fermĂ© par une serrure Ă code, et il faut payer un supplĂ©ment pour avoir ce code. J'ai trouvĂ© ça trĂšs moyen car ce n'Ă©tait pas prĂ©cisĂ© ni sur ma rĂ©servation, ni sur le site de l'Ă©tablissement. Enfin, l'isolation de ce genre d'hĂ©bergement, tant phonique que thermique, Ă©tant inexistante, on est rĂ©veillĂ© tĂŽt soit par les voitures qui passent sur la route Ă 3 m de la cabin, soit par la chaleur qui cogne sur le toit Ă 20 cm de sa tĂȘte.